Hello tout le monde !
Ça y est, on arrive déjà à la fin du mois de février. Je ne sais pas pour vous, mais moi je vis carrément un véritable ascenseur émotionnel.
Tout au long de la période de Noël, on est plongé dans l’effervescence des fêtes de fin d’année. Ce moment tant attendu implique les retrouvailles en famille et entre amis autour de mets succulents, les cadeaux, les sublimes illuminations chatoyantes et les pulls moches de Noël qu’on assume uniquement en décembre. Personne n’échappe également au fameux «All i want for christmas is you» et toutes les chansons du même acabit qui, en raison d’une écoute prolongée entraînent une inévitable fatigue nerveuse (il faut l’avouer).
Au nouvel an, c’est l’apothéose. On est euphorique à l’idée de recevoir notre ultime cadeau du mois de décembre: la nouvelle année. On ne sait pas ce que nous réserve cet énorme semainier de 365 tiroirs mais on y fonde toutes nos espérances tant les possibilités sont infinies.
Et puis à partir du 2 janvier, plus rien. On retourne nonchalamment à notre train-train quotidien. On échange machinalement nos meilleurs vœux aux proches et aux connaissances et les «bonne année» pêchus résonnent comme un disque rayé qui tourne en boucle. Les fatalistes démontent déjà leur sapin tandis que ceux qui ne lâchent rien le gardent jusqu’en février contre vents et marrées. On range les décorations dans les placards, on consulte notre compte en banque, on pleure, on monte sur la balance, on encaisse. On se rabat alors sur maintes galettes des rois et moulte soupes pour faire contrepoids puis arrive le 14 février et là, c’est deux poids deux mesures. La Saint Valentin, représente le jour de l’année le plus adulé par les amoureux inconditionnels de l’amour et le plus détesté par les pourfendeurs de la société de consommation et des effusions dégoulinantes d’amour en public. C’est surtout la période des fameuses sélections cathodiques spéciale love, kiss, chuchotements et sa majesté Mr Grey consacrées aux films à l’eau de rose qui nous font un chouïa chouiner ou chialer.

Quand tu en es à la millième photo
Bref, quoi qu’il en soit, les fêtes c’est vraiment fini. Rebelote dans 10 mois!
Alors, plutôt nostalgique ou très content(e) que tout ce tintamarre s’achève?
Robe salopette et pochette: La Halle
Pull: vous êtes très nombreux (bon 3) à m’avoir demandé où j’ai déniché cette petite beauté dont je ne me lasse pas. Je l’ai eu sur Shein.
Shoes : River island sur Asos. Les mots me manquent…Mon cœur a fait un triple salto quand je les ai vues.
Bracelet: Balaboosté
A bientôt :)!