Pour rien au monde j’échangerai mon beau teint noir, nacré comme celui des pêcheurs d’Assinie, irisé comme les écailles des poissons qui veillent sur l’Atlantique.

Pour rien au monde j’échangerai mon beau teint noir, nacré comme celui des pêcheurs d’Assinie, irisé comme les écailles des poissons qui veillent sur l’Atlantique.